Double champion de France universitaire de lancer de poids, Yannis Tournier est aussi étudiant en deuxième année en sport à Strasbourg. À 20 ans, il a la motivation d’un grand champion.
Un lancer de 7 kg à 16,82 m aux derniers championnats universitaires de la Fédération française du sport universitaire (FFSU). Un gabarit de 125 kg pour 2 mètres... Yannis Tournier a le physique de sa discipline.
Il enregistre son meilleur lancer lors du dernier championnat universitaire indoor de février 2018, loin devant le second qui réalise un lancer de 15,18 m. Soit un peu mieux que le championnat universitaire de juin, qu’il avait aussi remporté.
L’histoire de Yannis Tournier avec l’athlétisme remonte au collège, lorsque son professeur de sport lui fait découvrir le lancer de poids. À 13 ans, il mesure déjà 1,85 mètre.
Plutôt adepte du rugby, il remporte pourtant son premier championnat de lancer de poids. Cela l’emmène à s’inscrire dans le club de son village, près de Paris. À raison d’un entraînement par semaine, il continue ce sport, qu'il aime pour le « contrôle primordial » qu'il lui apporte.
De sa troisième à sa terminale, coaché par un entraîneur d’athlétisme pourtant non-spécialiste du lancer, il parvient à se hisser au top 12 mondial dans sa catégorie.
Championnats d’Europe et Jeux olympiques en tête
Faute d'avoir pu entrer à l'Institut national du sport, de l'expertise et de la performance (Insep) pour des raisons administratives, il étudie la médecine après le baccalauréat. À Lille pendant deux ans, il doit consacrer la majorité de son temps à étudier, ce qui entraîne une chute de ses performances et de sa forme physique. Il décide donc de changer de voie et de suivre un autre entraîneur à Strasbourg, où il entre en Sciences et techniques des activités physiques et sportives (Staps). Aujourd'hui, en plus d'évoluer en sport universitaire avec le statut de sportif de haut niveau, il continue de représenter son club lillois. Son nouveau choix d’études lui convient davantage, puisqu’il lui permet de concilier sport et études.
Dans ses études aussi, Yannis est animé par l'envie de se dépasser : ainsi, obtenir un master est « le minimum syndical » pour lui. Ses échéances principales sont les championnats d’Europe espoir, en 2019 et, à plus long terme, les Jeux olympiques de Paris, en 2024.
Ne dépendre de personne
« Le sport solitaire peut être très désavantageux dans les moments durs. On se retrouve seul devant ses propres échecs et sensations. » Heureusement, Yannis est entouré d’amis à qui parler. Cela-dit, il préfère un sport individuel « où l’on peut tout contrôler et où le mérite nous revient entièrement. Quand on est au top mentalement et physiquement, on ne dépend de personne et on peut tout arracher pour la gagne ».
Yannis a fait le choix de vivre loin de sa famille et ne suit pas avidement toutes les soirées étudiantes : « Un environnement propice au bon fonctionnement, pour pouvoir réaliser mes rêves ».
S’il s’imagine travailler plus tard dans la recherche, plus particulièrement sur le mouvement humain, il est conscient que continuer ce sport à l’âge adulte est un dur choix de vie. Il est en effet communément admis que l’âge d’or est de 30 ans dans le lancer de poids.
Pour autant, il se sent capable de concilier les deux : « On a 24 h dans une journée : 8 heures de sommeil, 8 heures de travail, 8 heures de loisirs, dont 2 heures d’entraînement au minimum. C’est largement suffisant pour faire encore d’autres choses ! »
Zoé Charef
Le docteur Stéphanie Scarfone, médecin de prévention, a pris la direction du SST au 1er mars. Elle remplace Anne Jankowski à la tête du service de « médecine du travail » interne de l’Unistra.
Médecin spécialiste en médecine du travail, Stéphanie Scarfone connaît bien les problématiques spécifiques aux structures d’enseignement et de recherche, puisqu’elle exerçait l’année dernière en tant que médecin de prévention à l’Université de Haute-Alsace (UHA). Surtout, elle a été ces six dernières années médecin de prévention animateur régional de la délégation Alsace du CNRS.
Désormais directrice du Service de santé au travail (SST) de l’Université de Strasbourg, Stéphanie Scarfone pourra mettre à profit son expérience de praticien attachée au service de pathologie professionnelle, ainsi que ses diplômes complémentaires en Ergonomie appliquée, Radioprotection et Toxicologie industrielle et environnementale.
Parmi les axes prioritaires déjà identifiés par la nouvelle directrice : « Le développement du prêt de matériel ergonomique, l’accompagnement des personnels en situation de handicap, la réalisation des fiches collectives de risque dans les services et composantes de l’université, la mise en place de nouvelles procédures pour la prévention des risques professionnels ou encore le travail en partenariat avec les acteurs de la santé et sécurité au travail ».
Pour rappel, le SST a pour missions d’évaluer les risques professionnels, d’informer le salarié, de dépister les maladies ou encore de proposer des mesures de protection individuelle et d’aménagement de poste, à travers notamment la visite médicale individuelle des agents. Le SST intervient également sur les lieux de travail (études de postes, participation aux Comités d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail-CHSCT, etc.).
Une participation en baisse, mais un renouvellement des candidats laissant espérer un beau dynamisme : Patrick Vuillez, directeur du Service pour la promotion de l’action sociale (Spacs), tire les enseignements des dernières élections qui se sont déroulées fin janvier.
20 % de taux de participation parmi les personnels Biatss1, 4 % pour les enseignants-chercheurs : des résultats en baisse dans les deux collèges par rapport à 2014. « La tendance globale est au désintérêt croissant pour les élections, au niveau national comme local », analyse Patrick Vuillez pour expliquer ces résultats quelque peu décevants. Le directeur du Spacs invoque aussi « le souhait, davantage marqué chez les Biatss, de mixité professionnelle. Il est ressorti d’une enquête menée en 2015 qu’ils se sentent davantage concernés par l’offre du Spacs ».
Pourtant, les raisons de rester optimistes sont nombreuses : « Ne pas s’exprimer lors des élections du conseil du Spacs ne signifie pas un manque d’intérêt pour ses activités et ses services : ainsi, la moitié des personnels de l’université a fait appel au service au moins une fois l’année dernière. ».
Appel aux nouvelles activités
« C’est aussi très positif de voir que ces élections ont été marquées par un certain renouvellement des personnes désireuses de s’engager. » Les élections, dont le but était de renouveler les 25 membres élus du conseil du Spacs (qui siègent trois fois par an et participent au séminaire annuel aux côtés des douze membres de droit2), ont vu s’affronter cinq listes pour les Biatss, deux pour les enseignants-chercheurs. « Cet apport de sang neuf s’observe aussi pour le bureau : en renfort d’anciens toujours aussi motivés, cinq membres sur onze sont nouveaux. »
Réuni tous les mois, ce « conseil restreint » statue, aux côtés de l’assistante sociale Angèle Peter, sur les demandes de secours exceptionnel et les idées de nouvelles activités. « L’appel à projets que nous avons lancé est d’ailleurs toujours en cours, rappelle Patrick Vuillez. Le Spacs, grâce à son équipe permanente, peut soutenir un personnel dans la mise en place d’une activité pas encore proposée par le service, ou prendre en charge le déploiement de cette nouvelle activité. »
En plus de la billetterie, le service propose de nombreuses activités gratuites, et ses animations-phares comme la fête de Noël, la chasse aux œufs ou le barbecue de rentrée sont toujours très prisées.
« L’un de nos objectifs étant de créer du lien dans l’université, nous souhaitons encore développer les initiatives favorisant la connaissance entre services, comme cette visite du service de cryogénie du 3 avril. » Nul doute que la future Maison des personnels, située à l’entrée du campus central et qui sortira de terre en 2019, contribuera à accroître la visibilité du service et la lisibilité de son offre.
1 Bibliothèques, ingénieurs, administratifs, techniques, sociaux et santé
2 Présidence, Direction générale des services, Direction des ressources humaines, Agence comptable, médecine du travail, assistante sociale
1/2 « Seed money » : littéralement, un « capital d’ensemencement », ou fonds d'amorçage. C’est le nom du nouveau dispositif d’Eucor – Le Campus européen1 destiné à donner un coup de pouce financier à des projets scientifiques prometteurs en recherche et formation, menés par des équipes des universités membres2.
L’Actu passe au crible trois des huit projets transfrontaliers récemment gratifiés d’une enveloppe globale de 300 000 €, ceux de l’axe « formation ». Les projets de l’axe « recherche » feront l’objet d’un prochain article.
Nom du projet : Mutualisation et internationalisation de l’offre de formation en médiévistique
Universités participantes : Bâle, Fribourg, Strasbourg
Porteur de projet : Faculté de théologie catholique de l’Université de Strasbourg
Subvention accordée : 30 000 €
Catégorie : lettres et sciences humaines
Les partenaires du projet aspirent à créer des liens étroits entre les programmes de médiévistique existants. Ils prévoient entre autres d’organiser des séminaires et manifestations communs afin que les étudiants puissent approfondir leurs compétences linguistiques respectives. Ce projet vise à consolider la collaboration déjà existante entre les masters d’études médiévales des universités concernées, avec pour ambition de constituer un pôle rhénan d’études médiévales.
Nom du projet : Tree MSc
Universités participantes : Bâle, Fribourg, Haute-Alsace, Strasbourg, Karlsruher Institut für Technologie (KIT)
Porteur de projet : Université de Strasbourg
Subvention accordée : 30 240 €
Catégorie : biologie
L’objectif du projet est de créer un cursus transfrontalier destiné à former des chercheurs et chercheuses d’excellence dans le domaine des sciences végétales afin de répondre aux enjeux de demain.
Nom du projet : Upper Rhine Science Trails
Universités participantes : Bâle, Haute-Alsace, Strasbourg, Fribourg
Porteur de projet : Center for Renewable Energies de l'Université de Fribourg
Subvention accordée : 31 725 €
Ce projet a pour ambition de développer un concept d’e-learning qui doit permettre l’enseignement et l’apprentissage transfrontaliers en ligne dans le cadre d’Eucor – Le Campus européen. Une application multilingue est entre autres prévue à cet effet.
1 Bénéficie de l'Initiative d'excellence (Idex), dans le cadre des Investissements d'avenir.
2 Université de Bâle, Université de Fribourg, Université de Haute-Alsace, Université de Strasbourg, Karlsruher Institut für Technologie (KIT)
À l’occasion de la 13e Semaine nationale de la mobilisation pour le don de moelle osseuse, l’Université de Strasbourg s’engage une nouvelle fois à travers une journée de sensibilisation de ses étudiants !
Une journée d’information et de sensibilisation au don de la moelle osseuse, organisée par le Service universitaire de médecine préventive et de promotion de la santé (Sumps), en collaboration avec l’Établissement français du sang (EFS) et l’Agence de biomédecine, se déroulera mardi 20 mars, entre 11 h et 16 h, dans le hall de l’Institut Le Bel.
Pour devenir donneur, vous devez avoir plus de 18 ans et moins de 51 ans, être en bonne santé, répondre à un questionnaire médical et effectuer une prise de sang.
Vous aurez également la possibilité de vous inscrire sur le registre national des donneurs de moelle osseuse.
Le 22 février, 16 enseignants-chercheurs strasbourgeois, membres des sections du Conseil national des universités (CNU) rencontraient leurs collègues à l’initiative d’Elisabeth Demont, vice-présidente Ressources humaines. L’occasion de faire un bilan du suivi de carrière mis en place pour la première fois à l’Université de Strasbourg et de préciser les mesures qui seront prises par l’établissement en conséquence.
Le suivi de carrière a été introduit dans le statut des enseignants-chercheurs par décret en 2014. Les modalités ont été définies par circulaires en 2016, et le dispositif lancé concrètement en février 2017 pour la vague C des établissements, à laquelle appartient Strasbourg. Ce suivi de carrière s’appuie sur un rapport d’activité établi par l’enseignant-chercheur et étudié par la section CNU dont il dépend, a minima tous les cinq ans, plus souvent s’il le souhaite. La section CNU établit des recommandations, d’une part à destination de l’enseignant-chercheur, d’autre part à destination de l’établissement pour l’aider à mettre en place un accompagnement professionnel de ses enseignants-chercheurs.
Des témoignages des membres des sections CNU
Dans l’ensemble, les enseignants-chercheurs membres des sections CNU qui ont travaillé sur les rapports d’activités de leurs collègues (au niveau national) témoignent de la bienveillance de leur démarche, de leur volonté de donner des avis et des conseils qui s’avèrent plus ou moins personnalisés en fonction des sections CNU, mais toujours dans l’objectif d’aider les collègues à évoluer dans leur carrière. Ils expriment aussi leurs propres difficultés, parfois, à faire face à cet exercice nouveau, pour lequel ils n’ont pas été formés. Certains ont été frappés par l’imprégnation, dans certains dossiers, des surcharges d’enseignement ou de tâches administratives. Au final, certaines situations délicates ont pu être repérées mais ne se sont pas révélées les plus nombreuses.
Bilan à l’Unistra
A l’Université de Strasbourg, 621 enseignants-chercheurs étaient concernés en 2017 par le dispositif et 325 ont déposé un dossier. 181 avis ont été transmis à l’établissement : une majorité de rapports ont été estimés « équilibrés », d’autres recommandent la sollicitation d’un congé pour recherche ou conversion thématique, ou encore encouragent un allègement de tâches administratives. Une dizaine de situations délicates sont également signalées.
Un groupe de travail a préconisé un certain nombre d’actions pour répondre aux préconisations des sections CNU. Par exemple, Elisabeth Demont a précisé qu’un entretien individuel sera proposé aux personnes en situation délicate. Par ailleurs, l’établissement envisage de mettre en place un système de « congés suivis de carrière », financé initialement par l’Idex. Enfin, le bureau des carrières de la DRH sera renforcé par un chargé de mission dédié au suivi de carrière des enseignants-chercheurs.
C. L.
Les enseignants du second degré affectés dans un établissement d’enseignement supérieur peuvent demander, lorsqu’ils sont inscrits en vue de la préparation d’un doctorat et, dans certaines conditions, après l’obtention du diplôme, à bénéficier d’un aménagement de leur service d’enseignement.
Le dispositif détaillé de la campagne 2018 est disponible en ligne.
Peuvent être promus au grade de professeur agrégé hors classe, les professeurs agrégés de classe normale comptant au moins deux ans d'ancienneté dans le 9e échelon de la classe normale au 31 août 2018 en position d’activité, mis à disposition ou en détachement.
Peuvent accéder à la hors classe de leur corps tous les agents de classe normale comptant au moins deux ans d'ancienneté dans le 9e échelon de la classe normale au 31 août 2018, y compris ceux qui sont stagiaires dans un autre corps, en activité, mis à disposition ou en détachement.
Les enseignants doivent, tout au long de l’année, enrichir leur CV par des données qualitatives les concernant. Les éléments saisis dans I-prof jusqu’au 18 mars 2018 seront pris en compte.
Le Bureau de la formation continue des personnels informe de l'ouverture de la campagne du congé de formation pour l'année universitaire 2018-2019.
La circulaire, ainsi que les formulaires de demande, sont consultables en ligne.
« Usages et applications avancés de Twitter », « Création de graphiques avec R-project », « Éthique de l'internet et pratique de recherche »... L'offre de formation de l'Unité régionale de formation à l'information scientifique et technique (Urfist) de Strasbourg pour le second semestre 2018 est en ligne.
Organisme interuniversitaire de formation rattaché par convention à l'Université de Strasbourg, l'Urfist propose des stages pour le second semestre 2018. Ceux-ci sont ouverts à tous les personnels de l'université et aux doctorants et gratuits. D'autres formations viendront s'ajouter à cette liste : l'Urfist conseille de consulter régulièrement son site.
Le festival Arsmondo*, ensemble d’événements culturels autour du Japon accompagnant les représentations à Strasbourg et Mulhouse de l’adaptation pour l’opéra du Pavillon d’or, célèbre roman du Japonais Yukio Mishima, se poursuit jusqu'au 29 mars. Le Département d’études japonaises de l’Université de Strasbourg a été approché par l’Opéra national du Rhin, à l'origine de la manifestation, pour proposer des événements s’inscrivant dans la programmation du festival.
Pour offrir un regard de spécialistes autour de Mishima et son œuvre, le département a choisi d’organiser une exposition consacrée à l’auteur et au Pavillon d’or, ouverte à la BNU jusqu’au 29 mars. Organisée en collaboration avec le Musée littéraire Mishima de Yamanakako et l’Université Gakushûïn de Tokyo, où a étudié Mishima, elle présente l’écrivain, le roman et son contexte, avec un regard particulier sur ses adaptations pour la scène. C’est aussi l’occasion de se confronter directement à l’écriture de cet écrivain aussi brillant que controversé, notamment par le biais de plusieurs lettres manuscrites originales écrites peu avant sa mort spectaculaire en 1970.
L’exposition est accompagnée d’un cycle de conférences autour du Pavillon d’or,données par plusieurs spécialistes de la littérature japonaise. La conférence de clôture, données par Gérard Siary, qui a préfacé l’une des éditions françaises du roman, sera l’occasion de faire le point sur les grands thèmes de Mishima : « le désir, la beauté, la mort ».
L’université organise également deux colloques internationaux qui viennent s’inscrire dans le festival. Le premier, « Haruki Murakami au présent et au futur » (15 et 16 mars à la BNU), reviendra sur l’œuvre du romancier japonais le plus lu dans le monde, à l’occasion des quarante ans de sa carrière littéraire. Le second, « Corps et message », du 21 au 23 mars au Palais universitaire et au Nouveau Patio, traitera de la traduction et de l’adaptation d’œuvres artistiques, notamment pour la scène. L’après-midi du 21 sera spécialement consacré à Yukio Mishima. En parallèle, le festival proposera jusqu’à la mi-avril des projections de films japonais, des performances artistiques ainsi que des animations diverses autour du Japon.
* Bénéficie de l'Initiative d'excellence (Idex), dans le cadre des Investissements d'avenir.
Le Service pour la promotion de l'action sociale (Spacs) vous propose une visite sur le thème des énergies renouvelables en Fôret Noire et l'éco quartier Vauban, samedi 21 avril.
En partenariat avec une association fribourgeoise, le Spacs vous propose une journée d’excursion et de (re)découverte en Forêt Noire sur la thématique de l’énergie, de l’agriculture et de l’urbanisme soutenable. Au programme : la visite d’une exploitation agricole productrice d’énergie, d’une éolienne, d’une exploitation de méthanisation, déjeuner dans un vieux moulin restauré, visite de l’éco-quartier Vauban et de son lotissement solaire.
Vingt places sont disponibles, pour cette sortie au tarif Unistra subventionné de 45 € (tarif de base : 90 €). Le prix comprend le transport en autocar, tous les déplacements durant la journée, les visites, le repas du midi (dégustation de mets froids de la ferme) et une guide. Pour le tarif CNRS, se renseigner au CAES.
Le troisième volet des ateliers Zéro déchets est décliné sur le thème "Zéro déchet au travail", vendredi 6 avril, de 12 h 15 à 13 h 45, à la Maison des personnels. Il est encore temps de s'inscrire !
Pourquoi et comment réduire ses déchets au travail ? Il existe des solutions toutes simples et à portée de main que nous pouvons expérimenter nous-mêmes et proposer ensuite à nos collègues. Accompagnés de Joana Levy (chargée de projet Développement durable à la Direction du patrimoine immobilier) et de Fritz Fernandez (conseiller en éco-consommation auprès de la Chambre de consommation d'Alsace), l'atelier se proposera de dresser un état des lieux des moyens mis à disposition à l’université. Un panel de solutions existantes pour réduire nos déchets (papiers, réceptions, éco-gestes, électricité) seront abordées.
Le Jardin des sciences et le Service pour la promotion de l'action sociale (Spacs) proposent aux personnels de l'Université de Strasbourg des visites guidées gratuites des collections et du patrimoine de l'université.
La prochaine visite proposée est celle de l'Observatoire astronomique, mardi 27 mars 2018, de 12 h 30 à 13 h 30.
Envoyez votre info à medias@unistra.fr avant le mardi 3 avril midi pour une parution le vendredi 6 avril 2018. Consultez les dates des prochains numéros.